le 22 novembre 2018
Dans le prolongement des luttes menées par la CGT, face à la situation sociale actuelle, dont les seuls responsables sont le gouvernement et le MEDEF ; la CGT66 appelle les salariés, les citoyens, les associations et partis politiques au rassemblement et la mobilisation ce samedi 24 novembre à partir de 8h place de catalogne à Perpignan.
Aujourd’hui, il y a urgence à répondre aux attentes sociales comme :
L'Union départementale CGT66
le 22 novembre 2018
Place de Catalogne
Perpignan
Ce rassemblement est concomitant avec l’appel lancé par les Gilets jaunes du département qui ne se rendront pas à Paris.
le 20 novembre 2018
Le syndicat CGT des cheminots Morlaix-Landivisiau (Finistère) et une association de défense s’inquiètent de l’annonce faite par la SNCF concernant la ligne ferroviaire Morlaix-Roscoff.
Dans un communiqué, le syndicat CGT des cheminots des pays de Morlaix et de Landivisiau s’inquiète de la tournure que prennent les choses suite aux importants dégâts causés par les fortes pluies le 3 juin dernier et qui ont obligé la SNCF a fermé la liaison. « Alors même que la restitution
de l’étude socio-économique engagée par la Région n’a pas été rendue, la SNCF vient d’annoncer qu’elle cessera d’exploiter cet axe ferroviaire à la fin de cette année {…} sur Morlaix Roscoff, c’est la désertion en rase campagne. Quelle perfidie ! » Contacté, Thierry Chapelais de la SNCF, n’était pas au courant de cette décision qu’il met d’ailleurs en doute.
Dans le même temps, La Région a pris la main sur le service interurbain et propose le billet de car à un tarif unique fixé à 2 €. Pour le syndicat, « cela ne se réalisera pas dans le même contexte. » Et les cheminots dénoncent les conséquences, qui, selon eux, vont en découler : « La gare de Roscoff va fermer : pour acheter ses billets de train, il faudra aller soit à Landerneau soit à Morlaix ou sur internet ; la SNCF disparaîtra du paysage léonard et il n’y aura plus de possibilité d’acheter un billet de train Paris Roscoff ou Marseille Saint-Pol-de-Léon par exemple. »
Du côté de la SNCF, on nie également cette éventualité de fermer la gare. « Tant que l’étude n’est pas finie, nous ne prendrons pas de décisions. »
Le syndicat CGT est soutenu par l’association de promotion de la ligne ferroviaire Morlaix/Saint-Pol-de-Léon/Roscoff (APMR) qui estime que « l’avenir de la ligne ferroviaire dépend plus que jamais de nos élus qui ne peuvent en aucun cas être les seuls porteurs de cet investissement pour lequel l’État doit s’engager à leurs côtés. »
Reste les questions en suspend : Les correspondances des cars avec les TGV seront elles assurées ? Quel impact y aura-t-il sur l’emploi dès lors que l’activité disparaît ?
Au moment où l’environnement et le carburant sont à l’ordre du jour, au moment où les structures communales ont investi dans un pôle d’échanges multimodal et une passerelle, n’est-il pas incohérent de se priver d’un moyen de transport tel que le train entre Morlaix et Roscoff ?
le 20 novembre 2018
Suspension immédiate de la hausse du prix des carburants " title=""GILETS JAUNES" > Suspension immédiate de la hausse du prix des carburants ">Les dramatiques accidents d'hier et la colère qui explose dans le pays doivent amener le gouvernement à prendre ses responsabilités.
Il doit suspendre immédiatement la hausse des prix des carburants.
Il doit augmenter les salaires et les retraites pour répondre aux très fortes attentes en matière de pouvoir d'achat.
Il doit ouvrir en urgence un débat public sur les mesures sociales et écologistes à mettre en œuvre pour réduire la consommation de pétrole,
en particulier dans le secteur des transports. Il y a urgence à lutter contre le réchauffement climatique.
Le PCF propose plusieurs mesures efficaces pour l'écologie et justes socialement :
- la taxation du kérosène et l'augmentation de la taxe sur l'aviation
civile
- l'augmentation des malus automobiles sur les achats de grosses
voitures polluantes
- la retour à une TVA à 5,5% pour les transports publics
- taxer les 10 milliards de bénéfices de Total pour financer la
transition énergétique
- cesser de fermer les petites lignes de train
Vite de vraies mesures sociales et écologistes pour plus de pouvoir d'achat et pour consommer moins de pétrole.
le 20 novembre 2018
AVEC IAN BROSSAT !
DIMANCHE 2 DÉCEMBRE 15H30
Vignettes en vente auprès de la section PCF du Pays de Quimper
17€ les 2 jours
contact :
06 32 25 69 61
LE PROGRAMME DE LA FÊTE
LES DÉBATS
Samedi 1er décembre
14h - Agora
FERROVIAIRE : LA BRETAGNE DOIT CONTINUER A OUVRIR LA VOIE
avec
Gérard Lahellec, vice-président du Conseil régional de Bretagne en charge des transports
Laurent Beaucaire, directeur de SNCF Mobilités Bretagne
Yannick Tizon, secrétaire général du secteur CGT des cheminots de Bretagne
Débat animé par Cyril Dallois, secrétaire cellule PCF cheminots 35
15h30 – Agora
LES ENJEUX DES éLECTIONS EUROPEENNES
avec
Marie-Pierre Vieu, député européenne PCF – Front de gauche
Christine Prunaud, sénatrice PCF des Côtes
d’Armor
Interpellés par Ramon Falguier, association Cause Communes 56
Débat animé par Philippe Jumeau, PCF 56
17h – Espace Cinéma
LE TRAVAIL ET LA JEUNESSE, NOUVELLE MARCHANDISE BON MARCHE, DU LYCéE A LA VIE ACTIVE
avec
Philippe Melaine, secrétaire départemental du SNES-FSU 35
Camille Lemarchand, co-responsable UEC Rennes
Edwin Haggan, co-responsable jeunes travailleurs du MJCF35
Débat animé par Geoffrey Perron
18h - Agora
TURQUIE-SYRIE: SOLIDARITE AVEC LE PEUPLE KURDE ET SON PROJET DEMOCRATIQUE, SOCIAL ET LAÏQUE !
avec
Sengul Karaka et Hazal Karakus du Mouvement International des femmes kurdes
Christine Prunaud, sénatrice communiste des Côtes d’Armor
Hülliya Turan, secrétaire départementale PCF du Bas-Rhin, d’origine kurde de Turquie
Pascal Torre, animateur secteur international du PCF
Débat animé par Ismaël Dupont, PCF 29
18h Stand Loisirs et Tourisme
LE DROIT AUX VACANCES POUR TOUS
En présence de CE de Bretagne et d’associations du tourisme solidaire
Débat animé par Christian Peltais
Dimanche 2 décembre
11h – Agora
VIEILLIR EN FRANCE : L’HUMAIN D’ABORD
avec
Joëlle Le Gall, Présidente d’honneur de la FNAPAEF (Fédération Nationale des Associations de Personnes Âgées Et de leurs Familles) et Présidente de BVE.BZH/ FNAPAEF(Association Bien Vieillir Ensemble en Bretagne/ FNAPAEF)
Dominique Watrin, anciuen sénateur PCF du Pas de Calais
Débat animé par Christiane Caro, commission
Santé du PCF
14h – Agora
RETRAITES, LA GRANDE BATAILLE
avec
Denis Durand, directeur de la revue Economie et Politique, animateur de la commission économique du PCF
débat animé par Alain Guichard, secrétaire général des retraités CGT du Morbihan et membre du bureau national des retraités CGT des Finances
le 19 novembre 2018
Après Saint Flour le 1er Novembre dernier, c’est au tour des guichets de Massiac, Neussargues, Murat et Le Lioran de fermer au 1er Décembre prochain puis au tour de Laroquebrou le 8 Décembre.
Comment ne pas y voir une fuite en avant vers la mise en péril de nos lignes SNCF du quotidien si utiles pour le désenclavement de notre territoire ?
Alors que l’on nous parle de respect de l'environnement : l’Etat, la Région Auvergne Rhône Alpes et la SNCF liquident l’offre ferroviaire publique dans notre département privant ainsi les Cantaliens d’un moyen de déplacement sur et écologique.
C’est un nouveau coup très dur infligé aux habitants des territoires ruraux qui, ajouté à la hausse du prix du carburant et à l’éloignement de tous les services publics, renforce le sentiment d’injustice et d’être des citoyens de seconde zone.
Le PCF Cantal et ses élus invitent citoyens, élus, usagers à prendre le « Train de l’Avenir et des Territoires » Vendredi 30 Novembre prochain à 14h10 au départ de Massiac jusqu’à Aurillac (veille des fermetures des guichets) :
- pour dénoncer les fermetures unilatérales des guichets SNCF sur le territoire Cantalien
- pour affirmer que le ferroviaire doit prendre toute sa place dans le désenclavement de nos territoires ruraux ainsi que dans les enjeux de mobilités du 21ième siècle en complémentarités des autres moyens de déplacement
le 19 novembre 2018
le 17 novembre 2018
Du côté des syndicats, la prudence est de rigueur. Dans les Pyrénées-Orientales, la CGT et la FSU affirment comprendre le mouvement des Gilets jaunes, mais n’appellent pas non plus à les rejoindre. « On soutient le mécontentement populaire. Il est tout à fait légitime, puisque la politique du gouvernement impacte le pouvoir d’achat des Français », affirme par exemple le secrétaire départemental de la CGT, Jean-Claude Zaparty. « Cependant, nous n’appelons pas à participer à la mobilisation de samedi, car nous ne voulons pas récupérer ce mouvement spontané, contrairement à certaines organisations politiques ou patronales qui essaient de l’instrumentaliser. Par contre, si les militants veulent participer à la mobilisation, libre à eux. Mais avec des gilets jaunes, pas avec des drapeaux de la CGT ! »
La FSU est à peu près sur la même longueur d’onde. « Chacun est libre d’utiliser son week-end comme il le souhaite », confirme le secrétaire départemental du syndicat, Grégory Raynal. « On comprend le mécontentement par rapport à la politique fiscale du gouvernement. Il faut la revoir : elle pèse trop sur les plus fragiles. Mais nous pensons que le problème est beaucoup plus vaste. Nous considérons qu’il réside dans une répartition des richesses toujours plus inégalitaire, renforcée par les politiques d’austérité qui dégradent le pouvoir d’achat d’une grande partie de la population.»
L'Indépendant, le 17 novembre 2018
le 16 novembre 2018
Depuis un an, les prix à la pompe ont grimpé de 23 % pour le diesel et de 14% pour l’essence, dépassant dans les deux cas 1,50 euro le litre ; des taxes qui, à l’image de la TVA, sont les impôts les plus injustes, frappant, sans discernement nos concitoyens. Les travailleurs quel que soit leur statut, les retraités, les privés d’emploi aux revenus les plus faibles sont les premières victimes de cette politique injuste.
Il est évident que le gouvernement veut trouver une manne financière importante après plusieurs mois de cadeaux fiscaux aux plus fortunés, faisant suite à de nombreux allégements et autres aides au patronat qui ne donnent, par ailleurs, aucun résultat économique. Il cherche donc plus à boucler son budget qu’à répondre à l’urgence de transition énergétique face aux enjeux environnementaux.
Avec sa politique, Emmanuel Macron met en difficulté des millions de Français qui, pendant des années, ont été encouragés à investir dans des véhicules diesel. Il semble plus guidé par la volonté de ponctionner que de préparer réellement la transition écologique.
C’est pourquoi la CGT 66, même si elle est solidaire du mécontentement légitime qui va s’exprimer le 17 novembre prochain, estime qu’il n’y a pas que les carburants qui grèvent les budgets des ménages et qu’il faut être sur tous les fronts, celui de la défense des services publics en passant par celui des retraites, de la protection sociale et bien sûr du pouvoir d’achat. Aussi, nous proposons d’ouvrir partout des négociations salariales afin de relever le smic à 1.800 euros et par voie de conséquence l’ensemble des salaires.
Mais il nous faudra aussi obtenir l’augmentation des pensions, des minimas sociaux car les retraités n’en peuvent plus d’être ponctionnés et les privés d’emploi stigmatisés. Pour cela, il est nécessaire de se mobiliser massivement, dans les entreprises, les services et partout où c’est possible.
Ainsi, le 17 novembre comme nous le faisons tous les jours, nous nous adresserons à la population avec nos propositions pour revaloriser le pouvoir d’achat. Des ambitions moins médiatisées, certes, mais plus à même de répondre durablement aux besoins de l’ensemble de nos concitoyens !
le 16 novembre 2018
La FSU comprend l’exaspération d’une majorité de citoyens devant l’augmentation du prix de l’essence.
Si la transition écologique est une impérieuse nécessité, elle doit être planifiée et alimentée par des dispositifs pérennes qui ne creusent pas les inégalités sociales et territoriales.
La FSU a toujours dénoncé l’augmentation des taxes indirectes payées par tous les citoyens, quelle que soit leur situation financière. Elle revendique une politique fiscale qui ponctionne davantage et de manière proportionnée celle et ceux qui ont le plus de moyens financiers. Elle ne demande pas une diminution des prélèvements obligatoires car ces derniers permettent de financer les services publics et les systèmes de solidarité.
La FSU exige un rééquilibrage des impositions au détriment du capital qui prospère : le nombre de millionnaires vient de dépasser la barre symbolique des 2 millions de personnes (ils devraient être 3 millions en 2023 selon les dernières projections), tandis que la pauvreté s’accroît inexorablement.
La FSU considère que le problème réside dans une répartition des richesses toujours plus inégalitaire, renforcée par les politiques d’austérité qui dégradent le pouvoir d’achat d’une grande partie de la population.
La FSU va poursuivre son action pour l’augmentation des salaires et des pensions. Elle continuera à s’inscrire dans une démarche unitaire avec toutes les organisations syndicales qu’il est urgent de renforcer, pour donner aux salariés, chômeurs, retraités et plus généralement à tous les citoyens, les outils collectifs, indispensables à la transformation progressiste de la société.