Fédération du Puy-de-Dôme

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El Xiulet… Lettre d’info du Comité des Usagers de la Ligne du Train Jaune (novembre 2018)

le 15 novembre 2018

El Xiulet… Lettre d’info du Comité des Usagers de la Ligne du Train Jaune (novembre 2018)

Ouibus, le fiasco du libéralisme ! Communiqué de presse de la CGT

le 14 novembre 2018

Ouibus, le fiasco du libéralisme ! Communiqué de presse de la CGT

Pétition « Hausse des prix des carburants : halte au racket ! D'autres choix sont possibles » - PCF Oise, 17 novembre 2018

le 13 novembre 2018

Pétition « Hausse des prix des carburants : halte au racket ! D'autres choix sont possibles » - PCF Oise, 17 novembre 2018

 

Tract « Hausse des prix des carburants : halte au racket ! D'autres choix sont possibles » - PCF Oise, 17 novembre 2018

le 13 novembre 2018

Tract « Hausse des prix des carburants : halte au racket ! D'autres choix sont possibles » - PCF Oise, 17 novembre 2018

 

Hausse des carburants : une politique écologiste et sociale des transports est possible

le 12 novembre 2018

Hausse des carburants : une politique écologiste et sociale des transports est possible

Communiqué de presse du parti communiste de la Vienne

Hausse des carburants : une politique écologiste et sociale des transports est possible, et c’est l’inverse de la politique actuelle.

La hausse massive des prix des carburants crée une émotion légitime. Au moment où les salaires sont bloqués, où les retraites sont gelées, où les minimas sociaux sont  figés, c’est un ponction encore plus insupportable. Macron fait payer à tous les Français, y compris les plus pauvres, la pluie de cadeaux fiscaux et sociaux qu’il a fait aux plus riches et aux multinationales. Sa politique est tout sauf écologiste : il continue de favoriser la route, de mettre en pièce le service public du transport ferroviaire, refuse également toujours de mettre en place une fiscalité écologique réellement efficace et juste socialement. La hausse indifférenciée des prix des carburants n’est pas la bonne méthode pour réduire massivement la production de gaz à effet de serre émises par le transport routier.

Le PCF demande l’annulation de la hausse de la Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques pour 2019 pour l’ensemble des carburants et il propose

  •  d’augmenter massivement les malus automobiles sur les achats de voitures neuves polluantes;
  •  de mettre fin au scandale des milliards de bénéfices des sociétés d’autoroutes et de Total en les mettant à contribution;
  •  de taxer le transport aérien, ultra-polluant et encourager le report sur le rail ;
  •  de taxer le kérosène sur les vols intérieurs, augmenter les taxes sur l’aviation civile ou de solidarité sur les billets d’avion.

Il est temps de prendre l’argent là où il est, par exemple dans les poches des actionnaires des multinationales pétrolières, pour investir vraiment dans des transports en commun publics qui permettent à chacun de se rendre à son travail. Des milliards d’euros peuvent être dégagés pour financer une politique publique qui réponde aux besoins de déplacement, en particulier investir massivement pour une évolution vers des transports propres. Relancer le transport ferroviaire des personnes et des marchandises au lieu de supprimer les petites lignes serait déjà un bon début. Une politique écologiste et sociale des transports est possible, et c’est l’inverse de la politique actuelle.
C'est sur ces bases que nous nous inscrivons dans la protestation contre la hausse des carburants.

Réunion de « Train en Têt »

le 10 novembre 2018

Réunion de « Train en Têt »
Salle Joachim Eyt
Rue San-Juan-de-Porto-Rico
Prades

Mecredi 6 février à 19h

Halte au racket : le matraquage fiscal c'est pas de écologie !

le 09 novembre 2018

Halte au racket : le matraquage fiscal c'est pas de écologie !

Aujourd'hui c'est clair : ce que le gouvernement offre aux plus riches, il le prend dans la poche des salariés et des retraités.

Pétition :

"Je demande au gouvernement de revenir sur le prix des carburant."

A télecharger >>>

Non à la hausse des carburants Oui à une fiscalité juste et écologique

le 09 novembre 2018

Non à la hausse des carburants Oui à une fiscalité juste et écologique

Les élus communistes, administrateurs d’Ile-de-France Mobilités, Jacques Baudrier, Pierre Garzon et Fabien Guillaud-Bataille condamnent l’augmentation massive du prix du carburant.

 

Cette augmentation socialement injuste va pénaliser les personnes aux revenus modestes, sans avoir d’impact sur les classes aisées. Ce sont en premier lieu les ouvriers, qui travaillent en horaires décalés dans les lieux les moins accessibles en transports en communs, et les retraités, dont beaucoup vivent avec de bas revenus, qui seront pénalisés par cette mesure et verront leur pouvoir d’achat diminuer. Les plus aisés pourront quant à eux continuer à se déplacer dans de grosses cylindrées pour une perte relative de pouvoir d’achat beaucoup plus faible.

 

Voilà pourquoi, les élus communistes, administrateurs d’Ile-de-France Mobilités ont déposé un vœu au prochain Conseil d’Administration d’Ile-de-France Mobilités (8 novembre) pour qu’Île-de-France Mobilités se positionne contre cette augmentation, et propose au gouvernement de conduire une politique plus efficace du point de vue de l’environnement et plus juste socialement.

 

Pour Jacques Baudrier, conseiller de Paris (PCF) : « Les hausses de taxes sur les carburants, programmées d’ici 2022, sont une attaque directe contre le pouvoir d’achat des classes populaires, particulièrement en grande couronne. Il est tout à fait possible de mettre en œuvre des politiques plus efficaces, justes et vertueuses. Nous proposons par exemple d’inciter à l’achat de véhicules moins polluants en augmentant massivement le malus écologique pour les véhicules les plus polluants et particulièrement pour les véhicules diesel. Par ailleurs, nous pensons que l’Etat doit taxer le kérosène pour les vols intérieurs. Ces mesures simples et efficaces du point de vue écologique, ne coûtent rien et sont justes socialement. ».

 

Il faut réduire la part de la voiture en ville, augmenter l’offre de transports en commun, développer des aménagements cyclables. Mais cela ne peut passer par des mesures injustes socialement qui laissent aux plus riches « le droit de polluer ».

 

 

 

Les Administrateurs PCF d’Ile-de-France Mobilités

Jacques BAUDRIER, Conseiller de Paris

Pierre GARZON, Vice-Président du Conseil départemental du Val-de-Marne

Fabien GUILLAUD-BATAILLE, Conseiller régional d’Ile-de-France

 

Communiqué de presse de la section Capcir-Cerdagne-Conflent du PCF. Prix du carburant

le 08 novembre 2018

Communiqué de presse de la section Capcir-Cerdagne-Conflent du PCF. Prix du carburant

Halte au racket ! Qui sont les véritables responsables ? Quelles solutions ?

Les ficelles utilisées par le gouvernement pour remplir les caisses de l’État qu’il a vidées au profit des plus riches commencent à être trop grosses et la colère monte : 76% des Français se disent contre ces augmentations.

Le samedi 17 novembre, une journée d'action nationale contre la hausse des carburants aura lieu. Le FN/RN avance masqué, il voudrait passer sous silence les véritables responsabilités et récupérer ce mécontentement.

Les communistes partagent cette colère qui gronde depuis plusieurs mois.

Les habitants de Capcir-Cerdagne-Conflent subissent la double peine. Non seulement la ligne SNCF Villefranche-Perpignan tarde à rouvrir les obligeant à utiliser leur voiture, mais de plus, compte tenu des conditions de vie dans cette région de montagne, ils subissent de plein fouet le cumul des hausses de l'essence, du gasoil et du fioul.

Pendant que les multinationales sont câlinées par Macron et son Premier ministre Édouard Philippe, celles et ceux qui sont obligés de prendre leur véhicule sont rackettés.

Il est temps de prendre l’argent là où il est, dans les poches des actionnaires des multinationales pétrolières, chez les plus riches qui ne payent plus d’impôt sur la fortune, et d’investir vraiment dans des transports en commun publics qui permettent à chacun de se déplacer.

Pendant que les multinationales se gavent, les usagers de la route, privés de transports en commun rapides, sécurisés et écologiques, se serrent la ceinture.

Les pétroliers, pour échapper à l’impôt, planquent leur argent dans les paradis fiscaux, cela coûte à la France 80 milliards d’euros chaque année.

Le PCF et leurs parlementaires réclament un sommet international pour supprimer les paradis fiscaux. En France, députés et sénateurs communistes ont déposé plusieurs propositions de loi pour renforcer les sanctions envers les fraudeurs.

Les communistes proposent que l’impôt soit justement réparti. Ce sont les plus riches d’abord qui doivent payer ! C’est pourquoi il faut : rétablir l’impôt sur la fortune, baisser la CSG et la TVA qui sont les impôts les plus injustes. Il faut également fortement augmenter les salaires qui stagnent ainsi que les pensions.

Les communistes exigent que le Gouvernement revienne sur les hausses du prix des carburants et du fioul et développe des transports en communs publics, rapides, fiables, sécurisés et écologiques.

Les habitants de Capcir-Cerdagne-Conflent ont besoin plus que jamais de la remise en service de la ligne Perpignan-Villefranche ainsi que du développement du Train Jaune, dans le giron du service public SNCF.

La section Capcir-Cerdagne-Conflent du PCF

Les combats de Jacques Montal, l'ancien chef de gare // 2018.11.07

le 07 novembre 2018

 Les combats de Jacques Montal, l'ancien chef de gare // 2018.11.07

Au terme d'une carrière bien remplie au sein de la SNCF, Jacques Montal a fait valoir récemment ses droits à la retraite. Figure emblématique de la gare d'Assier, où il a occupé pendant vingt ans les fonctions de chef de gare, Jacques l'était surtout par son engagement syndical et son combat permanent et sans concession pour le maintien des gares, des petites lignes, et la défense du statut de cheminot… Sans fard, mais aussi sans complaisance, Jacques Montal nous livre ses sentiments et ses ressentiments sur sa carrière de cheminot.

Qu'est-ce qui a motivé votre entrée à la SNCF ?

Mes deux sœurs officiaient déjà à la gare Saint-Charles, à Marseille. En 1977, j'ai à mon tour intégré la SNCF sur concours. Deux ans d'école et à la sortie, je fais déjà mes classes à Assier. Deux années à bourlinguer en Midi-Pyrénées : Toulouse, Pierrefitte-Nestalas… Je reviens dans le Lot, à Thédirac-Peyrilles (trois ans)… Après trois ans comme aiguilleur à Capdenac-Gare et douze ans en gare de Rocamadour-Padirac, j'entre enfin en gare d'Assier, en 1998… Ce qui m'intéresse, c'est d'intégrer une petite structure, une équipe de cheminots autonome, le rapport humain, à l'échelle humaine.

Déjà militant syndical à la CGT, pourquoi avoir créé l'ADGAPR ?

Depuis cinquante ans, la SNCF s'est engagée dans une politique néfaste pour l'entreprise de réduction des services et de fermeture de lignes : pour preuve, la situation actuelle. Le monde du rail est un monde de solidarité et de fraternité : quand on se bat pour une cause, on va au bout de la lutte. C'est le respect du triptyque cheminot-usager-élu qui nous guide… L'Association de défense de la gare d'Assier et de promotion du Rail, créée en 2002, a permis d'associer, dans nos actions, élus, usagers et agents SNCF… Beaucoup plus nombreux et donc plus efficaces.

Et maintenant ?

Je reste secrétaire de l'ADGAPR… Au-delà des gares, les services publics en milieu rural n'ont jamais été aussi menacés qu'aujourd'hui : écoles rurales, bureaux de Poste, maternités, Ehpads, déserts médicaux… J'ai certes rendu la casquette et le sifflet, mais j'ai toujours mon libre arbitre, mes convictions et mes valeurs et je n'ai pas rendu les armes… Le combat continue.


«Le combat a permis de ralentir et limiter la casse»

Les actions de l'ADGAPR, conjuguée à l'assiduité des agents de la gare d'Assier qui ont la réputation de ne jamais rien lâcher, ont permis de préserver les services et de sauver des lignes… Restructurations et suppressions de postes n'ont pu être évitées, mais l'installation de distributeurs automatiques de billets de train, vue comme une dégradation du service à la clientèle, a été empêchée. Les gares d'Assier, de Gramat et de Rocamadour, n'ont toujours pas de DAB…

En 2003, la gare d'Assier a été bloquée pendant trois jours pour empêcher la suppression de la rame Corail directe Rodez-Paris. Elle le sera finalement en 2006, malgré des manifestations en masse et une pétition de plus de 50 000 signatures… Christophe Schimmel, président de l'ADGAPR, le premier usager de France à le faire, a mené sept jours de grève de la faim…

Certes, en 2007, la rame de nuit Carmaux-Villefranche de Rouergue-Paris n'a pu être plus sauvée… Mais, début octobre 2018, alors que huit autres trains de nuit directs ont été supprimés en France, on a appris que la convention du TET (trains d'équilibre du territoire) qui assure le maintien de la ligne Rodez-Paris, via Assier, serait reconduite après 2020. Et le ministère des Transports a confirmé le renouvellement des rames : les voitures actuelles ont plus de quarante ans.

Propos recueillis par notre correspondant Gérard Barbé