Fédération du Puy-de-Dôme

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Prévente militante des bons de soutien de la Fête de l'Humanité 2019 à la Section du PCF de Paris 14e

le 25 August 2019

Prévente militante des bons de soutien de la Fête de l'Humanité 2019 à la Section du PCF de Paris 14e

Fête de l'Humanité 2019
Parc départemental Georges Valbon - La Courneuve
13, 14 et 15 septembre

Débats
Venez bousculer vos idées et exercer votre sens critique! Les débats de la Fête, animés par les journalistes de l’Humanité, irriguent les courants de pensée militant pour une plus grande humanité et justice sociale. Ils donnent la parole aux personnalités politiques, journalistes, scientifiques, artistes, syndicalistes et le public. Reprenant son sens premier, l’Agora de l’Humanité se dresse comme une place publique durant trois jours d’échanges passionnants sur les thèmes d’actualité. Le Forum Social, le Village de l’Economie Sociale et Solidaire et de nombreux autres espaces à la Fête accueilleront ainsi les débats qui font de la Fête de l’Humanité le carrefour emblématique des idées citoyennes! Plus d'info...

Music
Pour tous les goûts et toutes les générations!
Pendant trois jours, explorez une galaxie de genres musicaux avec plus de 60 concerts! Tenez-vous prêts: du début d’après-midi jusqu’en fin de soirée se succéderont grandes têtes d’affiches, découvertes et jeunes talents.
Chaque année, la Fête de l’Humanité propose une programmation exceptionnelle d’une grande diversité: électro, soul, reggae, hip hop, techno, tango, rock, jazz, pop, R&B, musiques du monde, rap, classique, variété française... à découvrir sur les cinq scènes de la Fête mais aussi dans les espaces et les stands! Plus d'info...

Village du livre, Village du monde, Gastronomie, Arts et culture, Sport, Spectacles, Rencontres, Expositions, Ateliers & Animations, Films & Doc,... Programme complet ici.

Prévente militante des bons de soutien de la Fête de l'Humanité 2019 à la Section du PCF de Paris 14e.

Pour les 3 jours:
28€ en présente militante
40€ aux Ponts de vente commerciaux
49€ sur place à partir du 13 septembre

Prévente militante au 32 rue Saint Yves, 75014 Paris

         Du lundi au vendredi  18h30 - 22h30
Les samedis et dimanches  17h00 - 23h00
           Jeudi 12 septembre  17h00 - 22h30

Contact: 06 81 55 52 72 (Evelyne), 06 58 10 21 82‬ (Jean Louis)

Nouveauté:
les bons de soutien achetés auprès des militants doivent être validés impérativement au plus tard le 12 septembre 23h59 pour être acceptés à l'entrée de la Fête

Prix de l’essence, taxes et impôts: faire reculer Emmanuel Macron

le 18 November 2018

Prix de l’essence, taxes et impôts: faire reculer Emmanuel Macron

Prix de l’essence, taxes et impôts: faire reculer Emmanuel Macron
Jeudi, 15 Novembre, 2018

Déclaration commune: Ensemble!, Gauche démocratique et sociale, Génération.s, Nouveau Parti Anticapitaliste, Nouvelle Donne, Parti communiste français, Parti de Gauche, République et Socialisme.

Prix de l’essence, taxes et impôts: faire reculer Emmanuel Macron, président des riches, et proposer des mesures pour la transition écologique.

La hausse du prix de l’essence provoque une colère massive. Le gouvernement «pro-riches» Macron-Philippe aura tout fait pour provoquer une haine de l’impôt, par des injustices scandaleuses.

Le quinquennat Macron a commencé par une liste de cadeaux aux plus fortunés: suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), de la progressivité des impôts sur les gros revenus, doublement de la baisse des cotisations sociales en 2019 avec 40 milliards sans créer d’emplois, aucune mesure pour empêcher la fraude fiscale massive des grands groupes et grandes fortunes. Le groupe Total, qui vend du pétrole et de l’essence, triche avec l’impôt sur les sociétés, encaisse pourtant de gigantesque profits (9 milliards en 2017). Il engraisse ses actionnaires (plus de 11% de rentabilité de l’action).

Les cadeaux aux plus fortunés et aux entreprises sont payés par des politiques alourdies contre les plus modestes: hausse de la CSG, gel des APL, retraites augmentées en dessous de l’inflation, blocage des salaires, austérité généralisée. La taxe et la TVA sur l’essence, c’est 60% du prix du litre. Et pour les entreprises du secteur, c’est 10% de marge. Les taxes à la consommation, comme la TVA et la taxe essence, sont des impôts totalement injustes qui pénalisent bien plus les plus pauvres que les riches.

Ce sont les prélèvements injustes sur les ménages qui financent les cadeaux aux riches, au lieu d'une fiscalité progressive et d'une taxation du capital. L’austérité budgétaire, la dégradation des services publics (hôpitaux, rail, bureaux de poste…) s’imposent à la majorité de la population. Ce sont les plus modestes qui trinquent!

Il faut inverser cette politique!

Les salarié-es, les chômeurs, les jeunes sont contraints d’utiliser une voiture, dans les zones rurales ou urbaines éloignées des centres villes. Rien n’est fait pour développer les transports en commun moins polluants, ou pour proposer des tarifs sociaux incitatifs. La prime à l’achat de nouvelles voitures moins consommatrices n’a qu’un effet dérisoire.

Nous faisons des propositions alternatives:

1-   Augmenter les salaires, les retraites, les indemnités de chômage, les minimas sociaux, et lutter contre l’évasion et l’optimisation fiscales.

2-   Taxer avant tout les compagnies pétrolières et les grandes entreprises du transport routier ou aérien, ou gestionnaires d'infrastructure (autoroutes), et notamment le groupe Total dont les bénéfices 2017 ont bondi de 39%, qui s’enrichit sur le dos des automobilistes.

3-   Taxer le kérosène (qui ne l‘est pas du tout!) pour empêcher que l’avion, très pollueur, ne concurrence le train. Supprimer l’exonération scandaleuse des taxes carburant pour le transport routier afin de développer le fret ferroviaire. Affecter l'essentiel des ressources de la taxe sur les carburants (TICPE) au développement de transports et de sources d'énergie écologiques, avec un contrôle démocratique.

4-   Arrêter la fermeture des petites lignes de chemins de fer (9000 km sont menacés), qui transforme les campagnes en déserts. Investir massivement dans les transports en commun de qualité accessibles à tous.

5-   Baisser fortement la TVA pour tous les produits de première nécessité.

6-   Contraindre les constructeurs à fabriquer des véhicules propres et sécurisés; interdire la production et l’importation de véhicule diésel.

7-   Engager sur ces bases de justice sociale la transition écologique

Tous ensemble, agissons avec les forces de gauche et écologistes, les syndicats, les associations environnementales, les usagers des transports. Pour sortir de la pauvreté, de la pollution, des bas salaires, de la dégradation des services publics, il faut une autre politique!

PRIVATISATION DE LA SNCF : Les masques tombent !

le 14 May 2018

PRIVATISATION DE LA SNCF  : Les masques tombent !

La presse s’en est fait l’écho. Contrairement à toutes les dénégations du gouvernement et de la direction de la SNCF, c’est bien la privatisation à terme de la SNCF que le pouvoir prépare. Comment interpréter autrement la volonté de la SNCF de limiter « l’incessibilité » de la SNCF à la seule holding ? Comment justifier la volonté de filialiser les trains régionaux ? Il n’y a qu’une explication : la volonté de privatiser la SNCF « à la découpe », morceau par morceau.

La pantalonnade de la pseudo-concertation organisée par le gouvernement n’a que trop duré. Les Français doivent être consultés après un débat démocratique. Les syndicats de la SNCF ont, à juste titre, engagé une consultation de tous les salariées. Le PCF demande solennellement au gouvernement de suspendre la réforme de la SNCF, et de consulter les Français-es par voie de référendum. Les Français-es ont droit à un débat public, contradictoire.

L’avenir de la SNCF, c’est l’avenir de la mobilité et de l’aménagement du territoire, un enjeu crucial du point de vue environnemental. On ne peut brader la SNCF d’un trait de plume, sans un véritable débat national.

Le PCF renouvelle sa demande d’entrevue auprès du Premier ministre afin de lui présenter son plan de développement de la SNCF, qui s’appuie sur des propositions de financements simples et efficaces pour reprendre la dette que l’Etat a fait porter à la SNCF.

DETTE DE LA SNCF : Les propositions communistes

le 14 May 2018

DETTE DE LA SNCF : Les propositions communistes

Dans une lettre au Premier ministre, Pierre Laurent avance les propositions communistes concernant la dette de la SNCF.

Vous connaissez tout mon attachement au bon fonctionnement du système ferroviaire de notre pays. La réforme que vous avez initiée soulève, à juste titre, une très forte opposition auprès des cheminots et de leurs organisations syndicales et n’est pas, de mon point de vue, à même d’apporter une amélioration du système ferroviaire. Je me réjouis néanmoins que vous ayez accepté d’ouvrir des négociations et qu’une première réunion de travail soit engagée […] avec les organisations syndicales. Vous avez déclaré que la question de la reprise de la dette de la SNCF serait abordée. Cette question de la reprise de la dette est essentielle et il est grand temps d’y apporter des solutions. La SNCF et les cheminots ne sont en rien responsables de cette dette, qui est la conséquence du sous-financement par l’État des investissements structurants de la SNCF durant des décennies.

Le règlement de cette question ne peut toutefois se faire aux conditions inacceptables que vous semblez envisager, qui organiseraient une pression durable contre les investissements et les embauches nécessaires et transféreraient la charge sur les contribuables. Nous pensons que la dette doit être reprise en créant les conditions de nouvelles sources de financement et d’emprunt plus saines pour le ferroviaire. Nous soumettons au débat deux pistes de travail. Concernant la dette, nous suggérons qu’elle soit reprise par une institution publique comme la Caisse des Dépôts, qui prêterait ensuite l’argent nécessaire à la SNCF et rembourserait les créanciers. La Caisse des Dépôts devrait alors se refinancer auprès de la BCE, ce qui nécessite que la France mène la bataille pour activer en ce sens la politique non conventionnelle de la BCE, qui permet de prêter aujourd’hui aux banques à 0%. Cette possibilité doit pouvoir s’appliquer aux services publics, pas seulement aux banques privées. Dans le domaine ferroviaire, ce serait utile à de nombreux pays européens.

Par ailleurs, nous avons avancé, dans notre contribution aux Assises de la mobilité, d’autres sources potentielles de financement.

Pour financer le Grand Paris Express et le Plan de mobilisation des transports en Ile-de-France, des recettes pérennes ont su être dégagées par de nombreux gouvernements différents depuis 2010. Vous avez-vous-même récemment confié au député Gilles Carrez une mission pour dégager de nouvelles recettes affectées pour le financement du Grand Paris Express à insérer dans la Loi de Finances 2019, à hauteur de plusieurs centaines de millions d’euros par an. Je relève aussi que les pistes de réflexion identifiées sont en phase avec les propositions du Parti communiste et des élus communistes.

Ce qui a été possible pour les transports publics en Ile-de-France, soit dégager des recettes pérennes, doit l’être aussi pour les transports ferroviaires dans notre pays. Il serait totalement inégalitaire que seule la région capitale profite de recettes pérennes et pas les transports publics dans l’ensemble du territoire.

Il me semble ainsi qu’une extension des taxes affectées existant en Ile-de-France à l’ensemble du pays et une augmentation de leurs taux permettraient de dégager des recettes très conséquentes, en particulier via la taxe locale sur les bureaux et la taxe sur les parkings d’hypermarchés. Par ailleurs, la création d’une écotaxe « poids lourds » au niveau régional serait également à même de générer des recettes très conséquentes. Ces trois sources de financement pourraient générer des recettes annuelles de l’ordre de 5 milliards d’euros par an, soit largement assez pour permettre de relancer les investissements de la SNCF.

Je souhaiterais pouvoir vous rencontrer pour échanger sur ces propositions

 

Service public: NON à la privatisation/dégradation! Tous concernés! Avec Didier Le Reste

le 08 April 2018

Service public: NON à la privatisation/dégradation! Tous concernés! Avec Didier Le Reste

Le 32! Café politique vendredi 13 avril 2018 18h30

Service public: NON à la privatisation/dégradation!
TOUS CONCERNÉS!

Le projet de changement de statut de la SNCF en société anonyme et de mise en concurrence généralisée du rail aurait pour conséquence la fermeture de lignes, la dégradation du réseau déjà vétuste faute d'entretien et des prix des billets en augmentation. Si de telles mesures régressives passaient, cela dégraderait les conditions de travail en général et pas seulement celles des cheminots. Car le gouvernement annonce clairement sa volonté de privatiser des pans entiers du service public et s'attaque aux personnels des EHPAD, hospitaliers, postiers, inspecteurs du travail, retraités, agriculteurs, enseignants, étudiants, chômeurs, fonctionnaires,salariés du privé.

Pour en parler, nous recevons
Didier Le Reste, conseiller communiste de Paris, ancien secrétaire de la fédération CGT des cheminots

Entrée libre.

Le «32!» Café Politique de la Section PCF du 14ème
32 rue Saint Yves 75014 Paris
Métro Alésia
http://paris14.pcf.fr
https://www.facebook.com/pcfparis14

Tract Manifestation 22 mars 2018

le 28 March 2018

Tract Manifestation 22 mars 2018

Rail com mars 2018 : Journal des cheminots communistes

le 28 March 2018

Rail com mars 2018 : Journal des cheminots communistes

Mon train: j'ytiens

le 28 March 2018

Mon train: j'ytiens

Etats généraux du Progrès Social

le 29 January 2018

Etats généraux du Progrès Social

SNCF : Direction et gouvernement, le duo infernal, fossoyeur du rail public

le 08 January 2018

SNCF : Direction et gouvernement, le duo infernal, fossoyeur du rail public

La ministre des transports Elisabeth Born convoque aujourd'hui, le 8 janvier, le patron de la SNCF pour lui demander des comptes suite à la "succession d'incidents importants et médiatisés" survenus ces dernières semaines dans les gares parisiennes de Montparnasse, Bercy et Saint-Lazare.

 

Il est assez curieux de voir une ministre des transports s’étonner des récents dysfonctionnements de la SNCF tant les différentes politiques menées depuis plus de 20 ans en matière de service public ferroviaire, aussi bien marchandise que voyageur, sont désastreuses. Les derniers chiffres sont éloquents : 2014, suppression de 1432 postes – 2015, 1100 postes – 2016, 1400 postes – 2017, 1200 postes et pour 2018, SNCF Mobilité a déjà annoncé 2000 suppressions d’emplois.

Les suppressions massives d’emplois s’accompagnent d’un manque d’investissement abyssal avec pour conséquence directe un réseau ferré et des installations de sécurité qui ne cessent de se délabrer. L’accident de Brétigny en est le triste exemple.

La SNCF est aujourd’hui malade des choix imposés conjointement par direction et gouvernement. Un duo infernal, où le dogme de la rentabilité est érigé en alpha et oméga des politiques ferroviaires.

 

Nous sommes aujourd’hui en droit de demander des comptes, à la SNCF bien sur, mais aussi aux différents gouvernements. Ceux-ci, tout en votant l’ouverture à la concurrence, ont abandonné toute forme de gouvernance de l’entreprise publique, en laissant les mains-libres à une direction d’entreprise. Les ministres des transports passent, les accidents et incidents se multiplient mais les fossoyeurs du rail public, Guillaume Pépy en tête, demeurent.

D’autres solutions existent. Plutôt que de stigmatiser les cheminots et de pénaliser les usagers, il est temps de mettre fin au dogme libéral qui guide gouvernement et direction dans la gestion de la SNCF.

 

Le PCF demande à ce que l’État français reprenne en intégralité la dette du système ferroviaire, et investisse de façon massive dans la régénération du réseau, les trains de nuits, les TET.

 

Le PCF porte l’idée d’un grand service public ferroviaire du 21è siècle, au sein d’une entreprise unique et intégrée, qui permette à chacune et chacun de se déplacer quel que soit son lieu de résidence sur le territoire, tout en assurant des conditions de travail décentes pour les cheminot-es.

 

Le 3 février prochain dans le cadre des états généraux du progrès social que nous tiendrons à Paris, nous ferons des propositions pour créer ce grand service public ferroviaire du 21è siècle.