Fédération du Puy-de-Dôme

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Paris pour tous 2014 : Site de campagne des élections municipales

le 24 février 2014

Paris pour tous 2014 : Site de campagne des élections municipales

Paris pour tous 2014 : Site de campagne des élections municipales

A Metz, l’Humain d’abord !

le 10 janvier 2014

A Metz, l’Humain d’abord !

A Metz, l’Humain d’abord ! C’est le nom que portera la liste construite par le Front de Gauche. La présentation de ce nom et des objectifs de la liste a été faite ce samedi 11 janvier au cœur de la ville au Pontiffroy. Plus de 120 personnes, candidats, militants et amis ont participé à cette première initiative. De très nombreux jeunes étaient dans l’assistance. Dans son allocution Jacques Maréchal, tête de Liste, a décliné les trois orientations de la liste : citoyenneté, Ecologie et solidarité. Nous ne voulons pas faire une campagne de témoignage mais une campagne pour faire jouer les lignes du débat politique et faire avancer des propositions concrètes pour améliorer la vie des gens. Le candidat a annoncé différentes initiatives autour des questions de transports urbains, de l’école du logement et de la santé. Il a également annoncé une campagne collective et riche de l’apport de l’ensemble des candidats et candidates. La campagne démarre par une distribution du premier tract de campagne avec un premier tirage de 10 000 tracts.

En pièce jointe le texte de l’intervention et l’appel à soutenir la liste.

SNCM : Le gouvernement doit sortir du flou

Par Pierre Laurent, le 06 janvier 2014

SNCM : Le gouvernement doit sortir du flou

Après un préavis d’un mois et 6 jours de grève, les personnels navigants et sédentaires, officiers marins et employés, de la SNCM et de la CMN attendent du gouvernement l’application du pavillon français 1er registre à toutes les compagnies qui naviguent sur la continuité territoriale et la confirmation des engagements exprimés par le ministre des Transports Frédéric Cuvillier dans un courrier adressé aux organisations syndicales le 25 juin dernier.
Dans le prolongement du Conseil de surveillance de la SNCM du 20 juin, le ministre en effet se félicitait de « l’aboutissement de la démarche portée par tous les acteurs de ce dossier ». Deux éléments essentiels la structuraient : le renouvellement de 4 navires de la flotte et l’application du plan d’activités associé à l’exploitation de 8 navires.

Nous étions alors dans la phase d’attribution de la délégation de service public (DSP) et le ministre n’ignorait pas que la viabilité de l’offre conjointe CMN SNCM, en réponse à l’appel d’offres de la Collectivité territoriale de Corse, reposait pour une bonne partie sur ce plan de relance de la compagnie. C’était si évident que le ministre précisait : « concernant le renouvellement des navires, conformément aux orientations retenus le 20 juin par le Conseil de surveillance, les actionnaires, dont l'État, définissent actuellement les modalités de financement les plus adaptées ». Ainsi il démontrait, après avoir rappelé que l'État engageait avec détermination « tous les recours en annulation et suspension des décisions de la Commission européenne », que la pérennité de la compagnie et du service public de continuité territoriale, reposait sur un ensemble de décisions et de choix politiques qui ne pouvaient attendre.
Force est de constater que 6 mois sont passés depuis et qu’il aura fallu l’entrée en grève pour obtenir une avance de trésorerie de 30 M€ indispensable pour le premier trimestre de mise en œuvre de la DSP et l’annonce deux jours plus tard d’une réunion pour définir avec qui et comment financer le renouvellement de la flotte.

Dans ce contexte, les indiscrétions distillées par la presse, laissent supposer que la solution d’un dépôt de bilan ferait partie des hypothèses. Si tel devait être le cas ce serait un nouveau scandale d'État comparable à celui de la privatisation opérée dans des conditions scandaleuses en 2005 par le gouvernement Villepin Sarkozy. Alors que la SNCM est garantie par l’attribution de la DSP à hauteur de 600 M€, il faudrait la placer en liquidation judiciaire, écarter la possibilité de revenir à un actionnariat public, comme les collectivités locales le proposent aux côtés de l'État, des salariés et de Transdev-Caisse des dépôts, pour mettre le doigt dans un engrenage dont les principales victimes seraient les salariés et les usagers du service public, en un mot la Corse.

Le gouvernement doit sortir du flou et affirmer des choix conformes aux propos du Premier ministre lors des 9ème Assises de l'économie maritime et du littoral, lorsqu’il affirmait que la « France serait au rendez-vous de l'économie maritime ». Si la parole et les actes doivent s’accorder, il se doit d’annoncer aux organisations syndicales des mesures garantissant l’avenir des personnels de la CMN et de la SNCM et du Service Public de continuité territoriale.
Le Parti communiste français, les élus communistes attendent que la réunion prévue ce lundi débouche sur des décisions permettant à la fois de mettre un terme à la grève et de dégager la perspective d’un avenir consolidé pour la délégation de service public et les deux compagnies délégataires la CMN et la SNCM et les 4000 salariés qui dépendent de leurs activités.

Signataires :
Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, Gaby Charroux, député maire de Martigues, Isabelle Pasquet, sénatrice des BdR, Dominique Bucchini, président de l’Assemblée de Corse, Jean Marc Coppola, vice président de la Région PACA, Frédéric Dutoit, président du groupe communiste au Conseil municipal de Marseille, Jean Marc Charrier, président du groupe communiste au CG13, Patrick Magro, président du groupe communiste de la Communauté urbaine Marseille-Provence-Métropole
Ainsi que Pierre Dhareville, Maxime Nordée, Michel Stefani respectivement secrétaires fédéraux des Bouches-du-Rhône, de la Corse-du-Sud et de la Haute-Corse.

Eco-taxe : « Le gouvernement doit cesser sa politique à la petite semaine »

le 29 octobre 2013

Eco-taxe : « Le gouvernement doit cesser sa politique à la petite semaine »

En annonçant la suspension de l'éco-taxe, le Premier Ministre a pris la seule décision possible face à la situation induite par la cristallisation des mobilisations et des tensions. Pour autant, l'éco-taxe ne doit pas être rejetée par principe.

Sa mise en œuvre doit s'inscrire dans une réflexion globale sur la transition écologique des territoires, par le développement du ferroutage, la relocalisation et la transformation des modes de production et de distribution.

Cette annonce ne répond cependant pas à l'ensemble du malaise et de l'exaspération qui s'expriment aujourd'hui en Bretagne. La suspension de l'éco-taxe n'apporte aucune réponse à la situation de l'agroalimentaire et à la multiplication des fermetures d'usines qui touchent directement les salariés bretons.

Ce dont ont besoin nos concitoyens, c'est de perspectives de changement à gauche. Le gouvernement doit cesser cette politique à la petite semaine faite d'annonces et de reculades successives. La France a besoin d'un gouvernement de gauche solide et non d'un "Exécutif girouette".

Air France: "Nouveau crash sur l'emploi"

le 31 juillet 2013

Air France:

Comme l'avait annoncé en juin dernier le PDG d'Air France-KLM, la principale compagnie aérienne française va annoncer ce matin lors d'un CCE une nouvelle restructuration impliquant la suppression de milliers d'emplois.

La facture du plan Transform 2015 qui, en 2012, prévoyait 5 122 départs soit 10% des effectifs, s'alourdit avec ces nouvelles mesures d'économies annoncées par Alexandre de Juniac.

 

Au nom de la rentabilité de la compagnie, la direction d'Air France, pour réaliser les 2 milliards d'économies s'apprête donc à restructurer plusieurs secteurs, notamment les coûts et organisations des escales.

Plan de départs volontaires, temps partiel, flexibilité, congés sans solde, le PDG d'Air France peut employer tous les termes pour minimiser l'impact des mesures, rien n'y change : plus de 2500 personnes sont à nouveau concernées et autant de postes qui vont être détruits. Un vrai crash pour l'emploi dans une période de chômage de masse.

 

Le PCF se place résolument au coté des syndicats et des salariés qui s'opposent au dépeçage d'Air France. Il réaffirme que les solutions ne sont ni dans les politiques d'austérité, ni dans les politiques ultralibérales imposées au nom de la politique européenne.

Une grande entreprise aérienne nationale dont l'Etat est actionnaire ne peut être gérée aux seuls critères de rentabilité et de concurrence au risque de mettre la sécurité des usagers en danger.

Il est dangereux de mettre le transport public dans les mains des marchés financiers comme le prouvent hélas les derniers accidents ferroviaires en Europe.

 

Le PCF interpelle le gouvernement et le ministre des Transports sur l'exigence d'organiser rapidement une table ronde à l'échelle nationale sur le transport aérien public pour stopper la casse de l'emploi qui remet en cause la qualité et la sécurité.

Espagne/Accident : Pierre Laurent apporte son soutien aux victimes et à leurs familles (PGE)

le 25 juillet 2013

Espagne/Accident : Pierre Laurent apporte son soutien aux victimes et à leurs familles (PGE)

Au nom du PGE, j'apporte tout mon soutien aux victimes et à leurs familles, touchées par le déraillement du train qui reliait Madrid à Ferrol, près de Saint-Jacques de Compostelle.

 

C'est un terrible accident qui a touché l'Espagne et ses habitants hier soir. La compassion et la solidarité du PGE est totale.

 

Nous espérons que l'enquête engagée se poursuive et puisse révéler les responsabilités dans cet accident dramatique qui a fait, selon un bilan provisoire, 77 morts et plus de 140 blessés.

 

Projet de loi métropoles : “Des monstres appelés métropoles” (PCF)

le 16 juillet 2013

Projet de loi métropoles : “Des monstres appelés métropoles” (PCF)

L’examen du projet de loi d’affirmation des métropoles porté par le gouvernement commence aujourd'hui à l’Assemblée nationale, après un parcours chaotique au Sénat.

 

L’ensemble de ce projet de casse de la démocratie locale poursuit des objectifs inacceptables d’austérité et de mise en compétition des territoires et de leurs habitants entre eux.

C’est pour satisfaire à ces objectifs qu’il organise le dessaisissement massif des citoyens. Afin que les décideurs économiques puissent avoir les coudées franches, il tente de dépouiller les communes de leurs responsabilités et balaye les solidarités existantes dans les établissements publics de coopération intercommunale. Il vise la disparition des départements - et pour le Rhône son éclatement -, dont on connaît l’importance, par leur proximité avec les populations, dans l’action sociale et la solidarité territoriale. Il met en cause la libre administration et la clause de compétence générale qu’il prétend restaurer, par l’organisation de conférences territoriales, débouchant sur des schémas directeurs. A travers ce projet en trois volets, ce sont également les services publics locaux qui sont visés, avec une pression accrue sur les dépenses, utiles, des collectivités locales. A aucun moment il n’aborde le sujet des désengagements successifs de l’Etat qui laissent les collectivités exsangues. Enfin, il provoque une cassure institutionnelle entre territoires urbains et territoires ruraux, créant des disparités territoriales et une République à la carte, complètement illisible et inégalitaire, qui ne manquera pas de renforcer le sentiment de déclassement des populations péri-urbaines avec ses conséquences.

 

Dans les aires métropolitaines de Paris, Lyon et Marseille, particulièrement, le projet de loi fabrique des monstres, appelés métropoles, ayant à leur tête une sorte de manager trustant les pouvoirs des communes, des départements, des régions, et une partie des compétences de l’Etat. Or, autant que d’une décentralisation citoyenne véritable, il y a besoin d’un Etat qui favorise l’égalité Républicaine de nos territoires et qui lutte contre les inégalités.

 

Les communistes portent l’ambition d’un développement partagé de nos territoires, s’appuyant sur un nouvel élan démocratique. Pour relever les défis qui se posent à l’échelle « métropolitaine », nous proposons de mettre en place des institutions de type nouveau, de nature profondément coopérative et démocratique. Les projets qui portent le plus loin sont ceux qui sont empoignés par les hommes et les femmes eux-mêmes.

La crise de la politique, qui est galopante dans notre pays, ne peut souffrir que l’on s’en prenne aux espaces dans lesquels les citoyennes et les citoyens ont le sentiment d’avoir le plus de possibilités d’intervenir et de décider.

 

Les secrétaires départementaux du PCF des Bouches-du-Rhône, du Rhône, de Paris, des Hauts-de-Seine, de Seine-saint-Denis et du Val-de-Marne se sont réunis pour évoquer ce projet et ses conséquences spécifiques dans les régions de Paris, Lyon et Marseille.

Ils ont dressé ensemble un constat partagé, celui de la gravité de ce projet pour la démocratie et pour l’avenir de nos territoires. Ils refusent clairement le passage en force qui cible particulièrement nos trois territoires et leurs populations.

 

Ils appellent les populations des trois territoires à refuser ces projets autoritaires auxquels ils n’ont pas été associés, qui veulent limiter la capacité d’intervention des citoyens et de leurs élus locaux. Ils appellent toutes les forces citoyennes disponibles, avec les syndicats, associations, élus, à prendre la main dans un large rassemblement pour exiger le retrait de cette réforme inacceptable et ouvrir un véritable débat sur le développement de nos territoires, les projets dont ils ont besoin et la meilleure manière de les faire grandir. Toute réforme de la démocratie doit être validée par la consultation des populations concernées, pouvant aller jusqu’à des référendums.

 

Pour le Parti communistes français,

Pierre Dharréville, secrétaire départemental du PCF Bouches-du-Rhône,

Danielle Lebail, secrétaire départementale du PCF Rhône,

Igor Zamichiei, secrétaire départemental du PCF Paris,

Hervé Bramy, secrétaire départemental du PCF Seine-Saint-Denis,

Fabien Guillaud-Bataille, secrétaire départemental du PCF Val-de-Marne,

Elsa Faucillon, secrétaire départementale du PCF Hauts-de-Seine,

 

Paris, le 16 juillet 2013.

 

Déraillement de Brétigny-sur-Orge : « L'heure est à l’enquête qui doit déterminer les causes du drame » (Pierre Laurent)

Par Pierre Laurent, le 13 juillet 2013

Déraillement de Brétigny-sur-Orge : « L'heure est à l’enquête qui doit déterminer les causes du drame » (Pierre Laurent)

Le déraillement du train corail inter-cités Paris-Limoges et les très nombreuses victimes qu'il a provoquées suscitent une émotion nationale légitime. Je la partage profondément. Je veux au nom du PCF saluer le courage et l’efficacité de tous les services de secours mis en œuvre face à cette catastrophe par les cheminots, les services de santé, de police et de gendarmerie. J'adresse mes condoléances aux familles des victimes décédées et mon soutien aux blessés et à leurs proches. Je veux également dire ma solidarité aux cheminots que je sais durement atteints en de telles circonstances. L'heure est à l’enquête qui doit déterminer les causes du drame. Nous en attendons la plus grande transparence. Il est trop tôt pour s'avancer et le temps nécessaire aux investigations doit être respecté. De nombreuses questions légitimes se posent notamment sur cette ligne POLT ( Paris-Orleans-Limoges-Toulouse) sur laquelle les retards d'investissements sont avérés, et plus globalement sur l'entretien du réseau. Toutes devront trouver réponses au plus vite. Le PCF sera extrêmement vigilant. 

 

Pierre Laurent, secrétaire national du PCF

 

Visite de la délégation du PCF au Salon du Bourget

le 21 juin 2013

Visite de la délégation du PCF au Salon du Bourget

Jeudi 20 juin, une délégation du Parti communiste français conduite par son secrétaire national Pierre Laurent a visité le 50e salon de l’aéronautique et de l’espace au Bourget. Elle a constaté la vitalité de l’industrie aérospatiale française et européenne, fruit du travail et de la créativité des salariés du secteur. Elle a aussi noté la capacité de cette industrie à relever les défis de la réduction des gaz à effet de serre et de la transition énergétique.

Ce qui se passe dans cette branche, montre que dans notre pays, l’industrie a un avenir, pour peu qu’on abandonne les politiques d’austérité salariale et qu’on investisse massivement dans la recherche & développement et dans la formation des hommes et des femmes.

Pour relever les défis du futur et pour honorer en temps, heures et qualités ses carnets de commande, l’industrie aérospatiale de notre pays se doit d’investir dans un vaste plan d’embauche et de formation dans toute la filière. Elle doit aussi profondément réformer ses méthodes de gestion et de management en donnant de véritables pouvoirs d’interventions aux salariés.

De la fusée Ariane aux drones, l’Etat doit continuer, dans ce domaine stratégique, à jouer un rôle moteur. C’est pourquoi, le PCF condamne le désengagement de la puissance public de l’actionnariat d’EADS, SAFRAN et ADP. C’est une vision comptable à courte vue, qui conduit à bruler le plancher pour chauffer la maison.

Une partie de l’avenir de l’Humanité se joue dans le ciel et l’espace, c’est pourquoi notre pays se doit d’avoir une politique aérospatiale à la hauteur des enjeux.

FDG Le Pradet: Pour les transports (Amélioration, tramway,, gratuité) le débat est dans la rue.....

le 15 juin 2013

FDG Le Pradet: Pour les transports (Amélioration, tramway,, gratuité) le débat est dans la rue.....

Une dizaine de militants FDG de la ville ( et des environs)  sont venus ce matin 14 juin à la rencontre des pradétans pour débattre transport au Pradet et l'agglomération. A l'appui du débat une exposition en 6 panneaux pour argumenter sur la nécessité du tram et sur la gratuité des transports dans l'agglomeration

 

 L’agglomération toulonnaise (plus de 400 000 habitant-e-s) a besoin d’un réseau de transports en commun, autour du projet du tramway, plus performant, plus écologique, plus social, véritable moteur du développement économique.

Face aux politiques d’austérité imposées au plan européen, et par le gouvernement, le Front de Gauche affirme que d’autres solutions existent !

La gratuité des transports pour les usagers n’est pas une utopie, elle s’applique déjà dans de nombreuses agglomérations comme Aubagne ou Gap dans notre Région, et permet à chacun-e- de se déplacer librement sur son bassin de vie pour se rendre à son travail, à son lieu d’études ou tout simplement pour ses loisirs.

La gratuité représente évidemment un gain important pour notre pouvoir d’achat ! Par exemple, la mise en place de la gratuité sur les TER en PACA pour les jeunes permet une économie de plus de 600 euros par an pour une famille dont l’enfant doit se rendre de Toulon à Marseille chaque jour pour ses études…

Sur le réseau Mistral (nom du réseau de transports en commun sur l’agglomération toulonnaise), l’abonnement annuel coûte plus de 300 euros/personne…

Il s’agit simplement de se réapproprier un bien public à savoir la capacité de pouvoir se déplacer au moindre coût !                                                                                                                                                                          La gratuité a bien évidemment une dimension environnementale car encourager tout un chacun à utiliser le transport en commun plutôt que son véhicule personnel limiterait fortement la pollution de l’air dont plus de 25% est générée par la voiture…

 Dans l’agglomération toulonnaise, avec la gratuité, nous affirmons que le Tramway devra être mis en place (et non un Bus à Haut Niveau de Service BHNS comme le souhaite Hubert Falco). Le Tramway permettra de transporter un plus grand nombre d’usagers plus rapidement et structurera les modes de déplacement dans notre agglomération.

 Enfin, nous souhaitons une gestion publique des transports, au travers d’une régie publique qui serait gérée par les élu-e-s mais aussi les salarié-e-s et les usagers, permettant à chacun-e- de s’impliquer dans l’amélioration du réseau !