Fédération du Puy-de-Dôme

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RER A et B : Usagers et salariés unis pour de bonnes conditions de transport et de travail

le 12 décembre 2017

RER A et B : Usagers et salariés unis pour de bonnes conditions de transport et de travail

Les salariés des RER A et B ont engagé un mouvement de grève ce mardi 12 décembre. Ils se plaignent d’une pression croissante sur leurs conditions de travail.

Ces deux axes de transport sont les lignes les plus chargées des transports urbains en France : plus de 1,2 million de passagers par jour pour le RER A, plus de 900 000 pour le RER B. Ils sont saturés, ce qui induit des conditions de déplacement très difficiles pour les usagers à l’heure de pointe, et des conditions de travail difficiles pour les salariés, qui subissent la pression pour assurer la régularité de lignes totalement saturées. Alors que la RATP utilise chaque année des dizaines de millions d’euros pour son expansion à l’international.

Cette saturation ne doit pourtant rien au hasard.

 

Pour Jacques Baudrier, conseiller de Paris (PCF) et Administrateur d’Île-de-France Mobilités : « la saturation du RER A est le résultat du raz-de-marée de bureaux à l’ouest de l’Île-de-France et en particulier à La Défense. L’État pour la seule année 2016 vient encore d’agréer la construction d’1 million de mètres carrés de bureaux dans les Hauts-de-Seine (50 000 salarié(e)s), soit plus de la moitié du total de la région. Cela va aggraver considérablement le déséquilibre habitat-emploi entre l’est et l’ouest, et totalement saturer le RER A. Il faut enfin une politique d’aménagement en Île-de-France, et stopper les chantiers de tours à La Défense. L’État a tout à fait les moyens réglementaires de le faire, en stoppant les agréments de bureaux dans les Hauts-de-Seine et en réformant la taxe pour construction de bureaux ».

 

Le RER B doit, lui, être soulagé par la construction des lignes du Grand Paris Express, ligne 14 au sud, lignes 16 et 17 au nord. Mais ces dernières sont menacées par les arbitrages du gouvernement qui voudrait faire des économies sur le dos de ces projets essentiels pour la banlieue nord alors qu’il persévère dans l’erreur avec son projet CDG Express.

 

Pour Didier Le Reste, président de l’association « Non au CDG Express » et conseiller de Paris (PCF) : « La construction du CDG Express, de cette ligne pour riches, est une aberration économique, sociale et technique. Le CDG Express aura en plus un impact très négatif sur le fonctionnement du RER B, car il empruntera les voies du faisceau nord. Comment peut-on imaginer dégrader les conditions de transport de 900 000 voyageurs par jour pour une ligne qui ne concernera que 20 000 usagers plus aisés par jour ? ».

 

Il faut enfin des politiques d’aménagement et de construction d’infrastructures cohérentes, pour de bonnes conditions de transport pour les usagers et de bonnes conditions de travail pour les salariés.

Création du groupe EELV-M1717 au Conseil régional d'Île-de-France

le 11 octobre 2017

Création du groupe EELV-M1717 au Conseil régional d'Île-de-France

COMMUNIQUÉ
du Front de Gauche Île de France: PCF, Parti de gauche, Ensemble, République et Socialisme

Paris, le 9 octobre 2017

Création du groupe EELV-M1717 au Conseil régional d'Île-de-France

Le Front de gauche trait d'union de la gauche francilienne

Le groupe Front de gauche prend acte de la création d'un groupe regroupant élu-e-s écologistes et proches de Benoît Hamon. Ce rapprochement politique se situe dans la continuité de la candidature de Benoît Hamon à l'élection présidentielle soutenue, alors, par EELV.
Le groupe Front de gauche espère que ce nouveau groupe contribuera à ses côtés, à amplifier la voix de l’opposition de gauche aux politiques de casse sociale et écologique de Valérie Pécresse. En effet, le rouleau compresseur libéral menée à la tête de l’État par E. Macron est régionalement anticipé et relayé par Valérie Pécresse. Cette main dans la main antisociale et à contre-sens de l'urgence environnementale s’abat de plein fouet sur les Francilien-ne-s et les cadeaux pour les riches et l'austérité pour les autres est aussi le refrain de Valérie Pécresse.
Impliqué dans les mobilisations sociales et environnementales et au plus près des territoires et des élu-e-s qui s'opposent à la casse des services publics locaux, le groupe Front de gauche a comme ambition de construire et de porter des propositions à vocation majoritaire à même de reprendre la marche du progrès social et écologique en Île-de-France.
C'est en ce sens que le groupe Front de gauche proposera au nouveau groupe régional de discuter de ce qui peut faire commun que ce soit sur les grands principes de l'aménagement du territoire régional, sur les garanties de la réalisation des lignes de métro du quotidien du Grand Paris Express, sur les propositions face à la réforme institutionnelle du Grand Paris mais aussi sur les grands projets régionaux (Europacity, JO 2024 ou candidature de Saclay à l'Exposition universelle de 2025). Ainsi, nous pourrons montrer l’utilité d'une gauche agissant ensemble et dans sa diversité pour contribuer â retisser un lien de confiance entre élu-e-s et citoyen-ne-s, pour répondre aux aspirations des Francilien-ne-s et pour défendre l'intérêt général.
Pour Céline Malaisé, présidente du groupe Front de gauche: «Nous sommes persuadés que la reconquête de la Région par la gauche, dans sa diversité de cultures, d'organisations et de pratiques, passe par la création de ponts. Ces ponts ne peuvent être bâtis qu'autour de propositions à même de changer la vie des Francilien-ne-s. Notre objectif est de permettre qu'en 2021, l’Île-de-France devienne une région solidaire et écologique œuvrant pour tous ses territoires et tou-te-s ses habitant-e-s. Être un trait d'union pour la gauche régionale: c’est cela une de nos ambitions!»

Suivi Presse:
Karine Brishoual
07 60 03 71 73
Karine.Brishoual@IleDeFrance.fr

Majorité municipale: Paris n'est pas Macronpatible!

le 02 octobre 2017

Majorité municipale: Paris n'est pas Macronpatible!

Majorité municipale: Paris n'est pas Macronpatible!

Depuis trois ans, la majorité municipale agit au service des Parisien-ne-s. Si beaucoup d'exigences restent encore à satisfaire, les communistes se félicitent des nombreuses avancées obtenues sous leur impulsion en matière de logement social, d'alimentation avec la création d'halles alimentaires de proximité, de programmation d'équipements publics dans les quartiers populaires, d'égalité femmes-hommes et de lutte contre les discriminations ou encore d'emploi avec le label «Fabriqué à Paris» qui vient de voir le jour.

Avec l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, avec un nombre important de parlementaires LREM à Paris, cette politique de gauche ambitieuse est menacée. Loi travail, hausse de la CSG, baisse des APL et des dotations aux collectivités territoriales sur la base d’une contractualisation avec l’État, réforme de la métropole, fiscalité favorable aux plus riches… toutes ces mesures gouvernementales s'opposent à la politique que nous menons dans la capitale. Deux visions de Paris se font face: alors que le Président veut faire de Paris une ville pour les riches, tournée vers la finance internationale, les grandes banques et les actionnaires et encourage l’uberisation des activités, notre politique municipale promeut une ville où tout un chacun peut vivre, travailler dans de bonnes conditions et accéder à un service public de haute qualité que l’on soit ouvrier-e, employé-e, étudiant-e, enseignant-e, artisan ou cadre. Paris n'est pas Macronpatible!

Devant la menace de voir nos efforts politiques ruinés par l'offensive néolibérale du pouvoir, Paris doit réagir avec détermination au nom des intérêts des Parisiennes et des Parisiens. Vendredi prochain, à l'occasion du renouvellement de l’exécutif parisien, il n'est pas concevable pour les communistes qu'une clarification n'ait pas lieu. La majorité municipale, la Maire de Paris Anne Hidalgo en tête, doit réaffirmer notre engagement pris en commun en 2014 de «faire de Paris une ville moins chère, une ville où l'on vit mieux, une ville pour toutes et tous». Tout membre de la majorité municipale qui s'opposerait à ce cap politique n'aurait pas sa place dans l’exécutif municipal. Les communistes parisiens, pour leur part, ne transigeront pas avec leurs engagements.

Paris, le 2.10.2017
Igor Zamichiei
Secrétaire de la Fédération de Paris du PCF

L'ennemi, c'est toujours la finance! Table ronde des forces de gauche Paris La Bellevilloise

le 22 février 2017

L'ennemi, c'est toujours la finance! Table ronde des forces de gauche Paris La Bellevilloise

2017 Les rencontres nationales du PCF La France En Commun

L'ennemi, c'est toujours la finance!

Mardi 28 février 2017 à 18h30

La Bellevilloise

19-21 rue Boyer 75020 Paris

L'ennemi, c'est toujours la finance!

Avec la participation de Pierre Laurent, secrétaire national du PCF

PRENONS LE POUVOIR SUR LES BANQUES
Table ronde des forces de gauche

Ont d'ores et déjà confirmé leur participation

Pierre Laurent, secrétaire national du PCF
Pascal Cherki, député PS, représentant de Benoît Hamon
Éva Sas, députée EELV

Interventions
Frédéric Boccara, membre de la commission économique du PCF et François Morin, professeur émérite de sciences économiques, membres des Économistes atterrés
Marie-France Beaufils, sénatrice, auteure du rapport d'information sur le CICE
Françoise Davisse, réalisatrice du film «Comme des lions»

Augmentation du ticket de « secours » de la Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) : Les habitants de l’Eurométropole victimes de la double peine

le 07 février 2017

Augmentation du ticket de « secours » de la Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) : Les habitants de l’Eurométropole victimes de la double peine

Depuis le 1er février, est entrée en vigueur l'augmentation des tickets de bus achetés directement auprès du chauffeur, qui passent de 1,70 à 2 euros. Il s'agit de la neuvième hausse des tarifs de la CTS depuis 2008. Elle fait suite notamment à la hausse de 2,24% des tarifs des abonnements du 1er juillet 2016.

Cette hausse des tarifs de la CTS est une mauvaise nouvelle. Cette mesure pénalise les usagers des quartiers qui n'ont pas un distributeur de tickets à proximité et elle désavantage les personnes qui utilisent ponctuellement les transports ainsi que celles qui bénéficient de peu d'aides pour souscrire à un abonnement.

Cette augmentation des tarifs de la CTS est la conséquence directe des politiques d'austérité gouvernementales soutenues par les députés socialistes strasbourgeois. L'Eurométropole de Strasbourg est ainsi passée de 116,10 millions d’euros de dotations de l’État en 2013 à 82,3  millions en 2017 soit une perte cumulée de plus de 67,63 millions d'euros depuis 2013**. Cela représente une baisse de la dotation de 29 % par rapport à celle de 2013 !

Cette hausse des tarifs incite à utiliser la voiture plutôt que les transports publics. Or, en 2012, une étude de l’institut de la veille sanitaire* concluait que les Strasbourgeois gagneraient 5,7 mois d’espérance de vie si la pollution de l’air aux particules en suspension était ramenée aux préconisations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). De plus, environ 135 décès liés à la qualité de l’air pourraient être évités chaque année dans la ville de Strasbourg.

Dans l'immédiat le PCF 67 demande un moratoire sur la hausse des prix de la CTS. Par ailleurs, le PCF 67 réaffirme, comme durant la campagne municipale à Strasbourg en 2014, l'objectif d'aller progressivement vers la gratuité des transports en communs dans l’Eurométropole.

Les récents pics de pollution ainsi que les nombreuses études alarmantes démontrent l'urgence de politiques de long terme pour des transports publics et la nécessité d'enclencher la transition écologique de nos filières industrielles pour lutter contre la pollution et développer des modes de transport propres. C'est l'ambition que portent les communistes avec leur programme "La France en commun".

La Fédération du Bas-Rhin du Parti Communiste Français

 

* Declercq C, Pascal M, Chanel O, Corso M, Ung A et al. : Impact sanitaire de la pollution atmosphérique dans neuf villes françaises. Résultats du projet Aphekom. Saint-Maurice: Institut de veille sanitaire ; 2012. 33 p.

** Chiffres issus de : http://www.rue89strasbourg.com/leurometropole-115434

STX : La navale française n'est pas à vendre

le 02 janvier 2017

STX : La navale française n'est pas à vendre

 

Au terme de longs mois d'incertitudes, seul l'italien Fincantieri s'est manifesté pour racheter le chantier naval STX de Saint-Nazaire.

Nous payons aujourd'hui des années d'inactions de l'état français plus préoccupé par expérimenter à STX un accord de « compétitivité » au détriment des salariés qu'à construire la filière industrielle navale Française dont notre siècle a besoin.

Les capacités de productions italiennes et françaises sont concurrentes plus que complémentaires. Le partenariat de Fincantieri avec le chinois CSSC fait peser de réelles craintes sur les transferts de compétences. Alors que l'état italien est actionnaire majoritaire de Fincantieri, peut-on imaginer que l'outil central de la filière navale française passe sous la souveraineté d'un état voisin ?

Le secrétaire d'état à l'industrie annonce un déplacement à Saint-Nazaire dans les prochains jours.

Il doit entendre ce qu'expriment les salariés, leurs organisations syndicales, les forces politiques et les élu(e)s qui exigent d'autres choix pour la navale française.

L'Etat a toutes les cartes en mains pour s'opposer à la prise de contrôle italienne. Il n'est pas trop tard pour mettre en œuvre une solution nationale utile au pays en renforçant la participation de l'Etat au capital du chantier, en y associant ses partenaires historiques mais aussi des industriels nationaux. Les besoins en matière de construction navale sont connus au-delà des paquebots (Ferries, câbliers, gaziers....). Avec le chantier de Saint-Nazaire, la navale française dispose de tous les atouts pour y répondre.

La navale française n'est pas à vendre.

Les communistes seront de toutes les mobilisations pour s'opposer à une nouvelle opération capitalistique contraires aux intérêts des salariés et de notre territoire.

 

Aymeric Seassau,

 

Paris, le 2 janvier 2017.

« Uber est un délinquant du travail, la justice doit agir »

le 19 décembre 2016

« Uber est un délinquant du travail, la justice doit agir »

La société Uber pratique le délit de travail dissimulé en imposant à ses chauffeurs contractants les mêmes contraintes que les salariés sans assurer leur protection sociale légale. Uber surexploite ses chauffeurs en prélevant une rente de 20% sur leur travail tout en leur faisant supporter tous les risques : achat de la voiture, assurances, impôts… Ainsi voici donc le nouveau capitalisme vanté par messieurs Macron et Fillon, celui où les 1% qui ont de l’argent ne prennent aucun risque et où les 99% qui n’ont que leur travail pour vivre sont contraints, comme les chauffeurs Uber, de trimer plus de 70 heures pour un revenu de misère.

 

Le PCF demande au gouvernement d’arrêter sa complaisance coupable en faveur d’Uber et d’imposer, y compris par voie de justice, la requalification des contrats Uber en contrat de travail salarié.

La puissance publique, de la commune à l’État, doit agir pour mettre fin à l’activité parasitaire et illégale des plate-formes capitalistes et pour favoriser le développement des authentiques plate-formes coopératives pair-à-pair.

2017 L'Humain d'abord!

le 16 décembre 2016

2017 L'Humain d'abord!

La France en commun!

2017 L'Humain d'abord!

4ème paquet ferroviaire: le PCF s’oppose à la libéralisation du rail

le 14 décembre 2016

4ème paquet ferroviaire: le PCF s’oppose à la libéralisation du rail

En dépit des protestations massives adressées aux eurodéputés par les syndicats, et faisant fi du rejet grandissant de cette UE qui livre aux marchés nos besoins élémentaires, le Parlement Européen a adopté le volet politique du 4ème paquet ferroviaire ce matin en séance plénière.

 

Ne nous y trompons pas : la libéralisation et la privatisation du rail n’ont jamais entraîné plus d’efficacité et d’accessibilité dans les transports. Au contraire, le modèle anglo-saxon ce sont des augmentations de prix, une qualité de transport chaque jour moindre, un abaissement des conditions de travail pour les cheminots et de lourdes conséquences sur l’environnement.

 

Notre groupe (GUE-NGL) au Parlement européen a déposé deux motions de rejet sur les deux volets concernant l’ouverture du marché des services nationaux de transport de voyageurs par chemin de fer.

 

Nous poursuivons le combat pour que ce paquet ne soit pas mis en œuvre. Nous refusons la mise en concurrence d’un secteur stratégique pour l’économie française. L’accès aux transports doit être considéré comme un droit fondamental et un service public permettant de garantir la mobilité.

 

La vieille méthode libérale consistant à privatiser les profits et à ne laisser à l’État que la gestion de la partie déficitaire pour répondre aux prédations des grandes entreprises a fait son temps. Mobilisons-nous contre la libéralisation du rail en France et en Europe !

 

Vote sur les motions de rejet de la GUE-NGL 

- modifiant la directive 2012/34/UE (rapport Sassoli) a été rejetée par 250 voix en faveur du rejet et 459 contre,

- modifiant le règlement (CE) n° 1370/2007  (rapport Van de Camp) a été rejetée par 330 voix en faveur du rejet et 254 contre.

 

Gare du Nord et RER B : l’austérité prend en otage un million d’usagers

le 07 décembre 2016

Gare du Nord et RER B : l’austérité prend en otage un million d’usagers

Après une nouvelle chute de caténaire, plus d’un million d’usagers de la gare du Nord ont failli être pris au piège, ne sachant pas s’ils pourraient rentrer chez eux ce soir. Seule l’efficacité des cheminots de la SNCF a permis de rétablir la situation et le PCF rend hommage à leur professionnalisme et à leur sens du service public.

Cette « épidémie » (sic) de chutes de caténaires ne doit rien à une calamité naturelle. Les causes sont simples et connues. Elles s’appellent austérité, baisse des dépenses publiques et gestion de la SNCF comme une entreprise privée devant faire du profit et non assurer en priorité la sécurité, la qualité et la continuité du service public.

C’est le résultat de 30 ans de sous-investissements, de réduction des effectifs et des moyens mis sur l’entretien des infrastructures, dont les 1er ministres Valls et Fillon portent une responsabilité accablante.

Cela entraîne d’inacceptables discriminations territoriales qui font qu’habiter à proximité du RER B est un handicap à l’embauche.

Le PCF demande au gouvernement de prendre immédiatement ses responsabilités en mettant en œuvre et en finançant un plan d’urgence de rénovation et d’entretien des infrastructures ferroviaires y compris par une contribution exceptionnelle des employeurs.